HALIFAX, le 14 mai /CNW/ - Le Fonds de revenu Jazz Air ("Jazz") (JAZ.UN à
la Bourse de Toronto) a annoncé aujourd'hui ses résultats du premier trimestre
de 2009.FAITS SAILLANTS DU PREMIER TRIMESTRE DE 2009
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Voici les faits saillants des résultats financiers de Jazz pour la période
qui s'est terminée le 31 mars 2009.
- Encaisse distribuable(1) de 34 M$.
- Bénéfice par part ajusté de 0,24 $(2).
- BAIIA(1) de 39,1 M$.
- Paiements incitatifs liés au rendement de 4,3 M$.
- Révision des coûts contrôlables liés au CAC pour la période allant de
2009 à 2011.Veuillez noter que, depuis le 1er janvier 2009, les résultats financiers
de Jazz Air S.E.C. (la "société en commandite") ne sont plus communiqués de
manière distincte. Par conséquent, le bénéfice d'exploitation, le bénéfice net
et le bénéfice par part en cumul annuel ont fait l'objet d'un ajustement dans
le but d'éliminer l'effet de certains montants liés à la consolidation, et ce,
pour qu'il soit possible de comparer ces résultats avec ceux déclarés
auparavant pour la société en commandite.
"Malgré les difficultés économiques auxquelles toutes les entreprises
font face, je vois d'un bon oeil la capacité de Jazz de publier encore pour ce
trimestre certaines des données financières et d'exploitation les plus
positives au sein de l'industrie aéronautique nord-américaine", a déclaré
Joseph Randell, président et chef de la direction de Jazz. "Je salue nos
employés pour l'amélioration de la satisfaction de la clientèle, ce qui a
contribué à la réalisation de 75 % des paiements incitatifs liés au rendement
dans le cadre du contrat d'achat de capacité."
"Jazz maintient un contrôle solide de ses coûts, ce qu'illustre une
augmentation de 4 % de l'encaisse distribuable pour le trimestre malgré un
recul de 9,3 % du nombre d'heures cale à cale facturables et un déclin de 8 %
du bénéfice d'exploitation avant l'amortissement du contrat d'achat de
capacité."
Résultats financiers - Comparaison des premiers trimestres de 2009 et de
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2008
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Les produits d'exploitation ont atteint 369,4 M$, comparativement à 396,4
M$, ce qui représente une baisse de 6,8 %. Cette baisse est principalement
attribuable à une réduction de 24,8 % des produits liés à des coûts
refacturés, à une réduction de 9,3 % des heures cale à cale facturables et à
une diminution de 7 % des départs. Ces réductions ont été contrebalancées en
partie par un taux de change du dollar américain élevé et une hausse du taux
établi dans le cadre du contrat d'achat de capacité (CAC).
Les paiements incitatifs liés au rendement que verse Air Canada à Jazz
dans le cadre du CAC se sont élevés à 4,3 M$, comparativement à 3,9 M$. Jazz a
par conséquent gagné 75 % du montant des paiements incitatifs pouvant être
versé en vertu du CAC, comparativement à 71 % au premier trimestre de 2008.
Cette hausse découle principalement de l'augmentation des produits
contrôlables liés au CAC et de l'amélioration de la satisfaction de la
clientèle à l'enregistrement et en vol. Les autres produits ont reculé,
passant de 2,4 M$ à 2,1 M$.
Les charges d'exploitation totales sont passées de 362 M$ à 337,8 M$,
soit un recul de 6,7 %. Les charges hors exploitation se sont établies à 2 M$,
en baisse de 2,1 M$. Cette baisse est principalement attribuable à un
ajustement de la juste valeur de 3 M$ au premier trimestre de 2008
relativement au papier commercial adossé à des actifs (il n'y a eu aucun
ajustement du genre au premier trimestre de 2009), à une augmentation des
intérêts débiteurs nets au premier trimestre de 2009 et à une perte de change
liée à la dépréciation du dollar canadien par rapport au dollar américain.
Les coûts contrôlables liés au CAC ont grimpé de 7,5 % principalement en
raison des hausses dans les frais de location d'appareils (attribuables à un
taux de change du dollar américain plus élevé) et des augmentations des coûts
d'entretien des appareils, du matériel et des fournitures (en raison de tarifs
plus élevés en vertu des nouveaux contrats d'entretien et d'un taux de change
du dollar américain plus élevé pour l'achat de certaines pièces d'équipement).
Le BAIIA(1) s'est chiffré à 39,1 M$ comparativement à 41,2 M$ en 2008, en
baisse de 5,1 %. Le bénéfice d'exploitation de 21,1 M$ représente une chute de
10,6 % par rapport aux 23,6 M$ enregistrés pour le premier trimestre de 2008.
L'encaisse distribuable s'est élevée à 34 M$, ce qui représente une
augmentation de 4 % par rapport à 32,7 M$.
La marge contrôlable rajustée réelle s'est établie à 11,05 %, ce qui est
inférieur de 327 points de base, ou 8 M$ environ, à la cible de 14,32 %. En
comparaison, pour le premier trimestre de 2008, la marge contrôlable rajustée
réelle était de 12,88 %, ce qui était inférieur de 121 points de base, ou 2,8
M$, à la cible de 14,09 %. Les taux des produits ont été établis en fonction
de la demande annuelle prévue des heures cale à cale facturables. Dans un
trimestre où les activités d'heures cale à cale sont inférieures à la moyenne,
les marges ont été comprimées. Au premier trimestre de 2009, cette compression
des marges a représenté 4 M$ du manque à gagner pour atteindre la cible de la
marge contrôlable rajustée réelle. Le reste de ce manque à gagner est
attribuable aux charges de rémunération incitative qui sont exclues de
l'établissement du taux des produits liés au CAC. Les taux des périodes
précédentes permettaient une marge suffisante pour couvrir les charges de
rémunération incitative.
Les produits liés au CAC ont grimpé de 5,2 %, en raison d'une hausse de
la marge commerciale (de 16,40 % à 16,72 %) demandée par Jazz en vertu du
contrat à la suite du rendement élevé de Jazz de 2006 à 2008 par rapport à la
marge cible contrôlable, d'une hausse des taux des coûts contrôlables liés au
CAC pour 2009 à 2011 et d'une hausse du taux de change du dollar américain
(ces hausses ont été partiellement annulées par une réduction des heures cale
à cale facturables).
Pour le premier trimestre, la société a inscrit un bénéfice net de 21,1
M$ comparativement à 21,8 M$ l'an dernier, soit une baisse de 3,2 %.
Les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés du Fonds de
revenu Jazz Air pour le trimestre terminé le 31 mars 2009 et les rapports de
gestion connexes qui les accompagnent sont publiés sur le site Web de Jazz, à
www.voljazz.ca, et sur le site www.sedar.com. On peut aussi obtenir un
exemplaire de ces documents en écrivant au service des relations avec les
investisseurs de Jazz, à l'adresse investorsinfo@flyjazz.ca, ou en composant
le 902-873-5094.
Conférence téléphonique trimestrielle et diffusion Web audio à
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l'intention des investisseurs
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Jazz tiendra une conférence téléphonique à 12 h HE, le vendredi 15 mai
2009, pour analyser les résultats du premier trimestre du Fonds de revenu Jazz
Air. Il est possible d'y participer en composant le 1-800-595 8550 ou le
416-644-3416 de la région de Toronto. La conférence sera diffusée
simultanément sur le Web, en mode audio, à l'adresse
http://www.newswire.ca/fr/webcast/viewEvent.cgi?eventID=2620420, ou dans la
section des relations avec les investisseurs du site Web de Jazz à
www.voljazz.ca. Il s'agit d'une diffusion Web en mode audio seulement. Le
lecteur Media Player ou Real Player est nécessaire pour écouter la diffusion
audio; veuillez donc le télécharger bien avant la conférence.
La conférence téléphonique diffusée sur le Web sera archivée sur le site
des relations avec les investisseurs de Jazz, à l'adresse www.voljazz.ca. Il
sera également possible de l'écouter en différé jusqu'à minuit HE, le vendredi
22 mai 2009, en composant le 416-640-1917 ou le 1-877-289-8525 (sans frais),
et en entrant le numéro d'événement 21303667, suivi de la touche marquée d'un
carré.
(1) Mesures financières non conformes aux PCGR
BAIIA
Le BAIIA (bénéfice avant intérêts, impôts, amortissement et obsolescence)
est une mesure financière non reconnue par les PCGR qui est couramment
utilisée dans tous les secteurs pour donner un aperçu des résultats
d'exploitation avant les intérêts débiteurs, les intérêts créditeurs, les
charges d'amortissement, les gains et pertes sur les immobilisations et les
autres produits et charges hors exploitation. La direction est d'avis que le
BAIIA aide les investisseurs à comparer les résultats de Jazz sur une base
constante sans égard à l'amortissement qui est un élément hors caisse et qui
peut varier sensiblement selon les méthodes comptables et les facteurs hors
exploitation tels que l'historique des coûts. Le BAIIA ne devrait pas être
utilisé comme mesure exclusive des flux de trésorerie, car il ne tient pas
compte de l'incidence de la croissance du fonds de roulement, des dépenses en
immobilisations, du remboursement de la dette et d'autres entrées et sorties
de fonds, qui apparaissent dans l'état des flux de trésorerie.
ENCAISSE DISTRIBUABLE
L'encaisse distribuable est une mesure non conforme aux PCGR généralement
utilisée comme indicateur du rendement financier par les fiducies à capital
variable canadiennes. Elle ne doit pas être considérée comme une mesure de la
liquidité ou un substitut aux mesures comparables préparées conformément aux
PCGR. L'encaisse distribuable peut différer des calculs similaires présentés
par d'autres entités et, par conséquent, elle peut ne pas être comparable à
l'encaisse distribuable présentée par ces entités. Le lecteur doit se reporter
aux rapports de gestion de Jazz et du Fonds Jazz Air pour un rapprochement de
l'encaisse distribuable et des flux de trésorerie liés aux activités
d'exploitation.
(2) CALCUL DU BENEFICE PAR PART
Le calcul du bénéfice par part est fondé sur le bénéfice net ajusté. Le
bénéfice net ajusté est une mesure non conforme au PCGR définie de la manière
suivante : bénéfice net ajusté = bénéfice net + amortissement de l'actif lié
au CAC + autres charges d'exploitation engagées par Jazz + recouvrement
d'impôts futurs.
MISE EN GARDE CONCERNANT LES ENONCES PROSPECTIFS
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Le présent communiqué doit être lu parallèlement aux états financiers
consolidés intermédiaires non vérifiés et au rapport de gestion du premier
trimestre 2009 de Jazz datés du 14 mai 2009, lesquels sont déposés auprès des
organismes canadiens de réglementation des valeurs mobilières (disponibles à
l'adresse www.sedar.com).
Le présent communiqué peut comporter certaines déclarations qui sont de
nature prospective. Ces énoncés prospectifs se reconnaissent à l'emploi de
termes ou d'expressions comme "prévoit", "croit", "pourrait", "estime",
"s'attend à", "a l'intention de", "peut", "planifie", "prédit", "projette",
"devrait", "suppose" et autres, qui soulignent les éventualités possibles et
font renvoi aux hypothèses retenues. Ces énoncés peuvent, entre autres, porter
sur des observations concernant des stratégies, des attentes, des activités
planifiées ou des actions à venir. Les énoncés prospectifs concernent des
analyses et d'autres informations qui sont fondées sur des prévisions de
résultats futurs, des estimations de montants ne pouvant être établis dans
l'immédiat et d'autres événements incertains. Par nature, les énoncés
prospectifs reposent sur des hypothèses, dont celles décrites ci-dessous, et
ils sont sujets à des risques et incertitudes importants. Aucune prévision ou
projection n'est donc entièrement fiable en raison, notamment, de l'évolution
des circonstances externes et de l'incertitude générale qui caractérise le
secteur. Ces énoncés mettent en jeu des risques connus et inconnus, des
incertitudes et d'autres facteurs susceptibles de faire différer sensiblement
les résultats, le rendement ou les réalisations réels de ceux qui sont exposés
dans les énoncés prospectifs. Les résultats présentés dans les énoncés
prospectifs peuvent différer sensiblement des résultats réels en raison de
divers facteurs, dont notamment, mais sans s'y limiter, les prix de l'énergie,
les conditions du secteur, du marché et de l'économie en général, la
concurrence, les questions liées aux assurances et les frais d'assurance, les
questions liées à l'approvisionnement, les conflits armés, les attentats
terroristes, les épidémies, les cas de force majeure, les fluctuations de la
demande dues au caractère saisonnier des activités, la capacité de réduire les
charges d'exploitation et les effectifs, les relations de travail, les
négociations collectives ou les conflits de travail, les restructurations, les
questions liées à la retraite, les taux de change et d'intérêt, l'évolution de
la législation, les développements ou procédures réglementaires défavorables,
les litiges ou les poursuites en cours ou futurs intentés par des tiers, de
même que les facteurs définis sous la rubrique "Facteurs de risque" des
rapports de gestion annuels du Fonds de revenu Jazz Air en date du 14 mai
2009. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent document représentent
les attentes de Jazz en date du 31 mars 2009 et ils peuvent changer après
cette date. Jazz n'a toutefois ni l'intention ni l'obligation d'actualiser ou
de réviser ces énoncés prospectifs à la lumière de nouveaux éléments
d'information, d'événements futurs ou pour quelque autre motif que ce soit,
sauf dans la mesure où les lois sur les valeurs mobilières applicables
l'exigent.
Fonds de revenu Jazz Air
Le Fonds de revenu Jazz Air est une fiducie à capital variable sans
personnalité morale, établie sous le régime des lois de la province de
l'Ontario. Il a été créé en vue d'acquérir et de détenir indirectement une
participation dans les parts de société en commandite en circulation de Jazz
Air S.E.C.
Jazz est la deuxième société aérienne en importance au Canada, compte
tenu de la taille de son parc aérien et du nombre de liaisons qu'elle
exploite. Jazz effectue plus de vols et dessert plus de villes canadiennes que
tout autre transporteur canadien. Jazz fait partie intégrante de la stratégie
et de la présence d'Air Canada sur les marchés intérieur et transfrontalier.
Jazz se démarque des autres sociétés aériennes. Jazz a conclu avec Air
Canada une entente commerciale qui est au coeur de ses activités. Aux termes
du contrat d'achat de capacité (CAC), Air Canada achète actuellement la
quasi-totalité de la capacité du parc aérien de Jazz à des taux prédéterminés.
Le CAC confère une plus grande souplesse commerciale à Air Canada, en plus de
lui permettre de diminuer le coût des vols et d'assurer la correspondance des
vols au sein de son réseau. De plus, le CAC réduit considérablement les
risques financiers et commerciaux auxquels Jazz est exposée, en plus de lui
fournir une base stable pour ses activités quotidiennes et sa croissance
future.
