De saines pratiques de gestion et une exploitation efficiente continuent
de produire des résultats parmi les meilleurs du secteurHALIFAX, le 5 août /CNW/ - Le Fonds de revenu Jazz Air (le "Fonds")
(JAZ.UN à la Bourse de Toronto) a annoncé aujourd'hui d'excellents résultats
financiers pour le deuxième trimestre de 2009. Jazz fait partie des rares
entreprises de transport aérien en Amérique du Nord qui affichent un bénéfice
pour le deuxième trimestre.FAITS SAILLANTS DU DEUXIEME TRIMESTRE DE 2009
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Voici les faits saillant des résultats financiers du Fonds pour la période
de trois mois terminée le 30 juin 2009 par rapport à la période comparable de
2008.
- Encaisse distribuable(1) de 40,6 M$, en hausse de 34 %
- Bénéfice ajusté par part de 0,29 $, en hausse de 31,8 %(2)
- BAIIA(1) de 44,3 M$, en hausse de 19,4 %
- Paiements incitatifs liés au rendement de 4,7 M$, en hausse de 17 %.
- Coûts par siège-mille offert en baisse de 10,6 %.
- Bénéfice net de 25,4 M$, en hausse de 7,7 %.Veuillez noter que, depuis le 1er janvier 2009, les résultats financiers
de Jazz Air S.E.C. ("Jazz") ne sont plus communiqués séparément. Par
conséquent, le bénéfice d'exploitation, le bénéfice net et le bénéfice par
part en cumul annuel du Fonds ont fait l'objet d'un ajustement dans le but
d'éliminer l'effet de certains montants liés à la consolidation, et ce, pour
qu'il soit possible de comparer ces résultats avec ceux déclarés auparavant
pour Jazz.
"Malgré les difficultés économiques auxquelles toutes les entreprises
font face, je suis très encouragé de constater que le Fonds est encore une
fois ce trimestre en mesure d'afficher certains des résultats financiers et
d'exploitation les plus positifs du secteur aéronautique nord-américain", a
déclaré Joseph Randell, président et chef de la direction de Jazz. "La vigueur
de nos résultats témoigne de nos saines pratiques de gestion, d'un bon
contrôle des coûts et de l'attention que nous ne cessons d'accorder à la
sécurité et à l'excellence opérationnelle. Nos employés sont parmi les
meilleurs de l'industrie."
M. Randell a poursuivi en disant : "Je suis convaincu que nous générerons
de la valeur pour nos porteurs de parts selon les modalités de notre contrat
modifié d'achat de capacité avec Air Canada, tel qu'il a été annoncé le 28
juillet 2009. Le contrat modifié maintient un minimum annuel de 339 000 heures
cale à cale et une cible annuelle de 375 000 heures cale à cale. Cette base de
revenu réduite devrait nous permettre de maintenir nos distributions en
espèces révisées à 0,60 $ par part annuellement, y compris lorsque le nouveau
régime fiscal lié aux entités intermédiaires de placement déterminées entrera
en vigueur en 2011."Résultats financiers - Comparaison des deuxièmes trimestres de 2009 et de
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2008
----Les produits d'exploitation ont atteint 373,6 M$, comparativement à 409,8
M$, ce qui représente une baisse de 8,8 %. Cette baisse est principalement
attribuable à une réduction de 31,8 % des produits liés à des coûts refacturés
en vertu du contrat d'achat de capacité (le "CAC"), à une réduction de 2,4 %
des heures cale à cale facturables et à une diminution de 2,5 % des départs.
Ces réductions ont été contrebalancées en partie par le taux de change plus
élevé pour le dollar américain et une hausse du taux établi dans le cadre du
CAC.
Les paiements incitatifs liés au rendement que verse Air Canada à Jazz
dans le cadre du CAC se sont élevés à 4,7 M$, comparativement à 4 M$. Jazz a
par conséquent gagné 79 % du montant des paiements incitatifs pouvant être
versés en vertu du CAC, comparativement à 73 % au deuxième trimestre de 2008.
Cette hausse découle principalement de l'augmentation des produits
contrôlables liés au CAC et de l'amélioration de la satisfaction de la
clientèle à l'enregistrement et en vol. Les autres produits ont reculé,
passant de 3,1 M$ à 2,4 M$.
Les charges d'exploitation totales ont diminué de 11,6 %, de 381 M$ à
336,9 M$. Les charges hors exploitation se sont établies à 0,8 M$, en baisse
de 0,6 M$. Cette baisse est principalement attribuable à l'incidence des taux
de change plus élevés du dollar américain et à un gain sur la cession
d'immobilisations; la baisse a été contrebalancée par une hausse des intérêts
débiteurs nets.
Les coûts contrôlables liés au CAC ont augmenté de 5,4 % principalement à
la suite des augmentations des frais de location d'appareils découlant du taux
de change plus élevé du dollar américain, des augmentations des coûts
d'entretien des appareils, ainsi que des coûts du matériel et des fournitures
en raison de tarifs plus élevés en vertu des nouveaux contrats d'entretien et
d'un taux de change du dollar américain plus élevé.
Le BAIIA(1) s'est chiffré à 44,3 M$ comparativement à 37,1 M$ en 2008, en
hausse de 19,4 %. Le bénéfice d'exploitation de 26,2 M$ a augmenté de 41,5 %
par rapport aux 18,5 M$ enregistrés pour le deuxième trimestre de 2008.
L'encaisse distribuable s'est élevée à 40,6 M$, ce qui représente une
augmentation de 34 % par rapport à 30,3 M$.
La marge contrôlable rajustée réelle s'est établie à 12,74 %, ce qui est
inférieur de 158 points de base, ou 3,9 M$ environ, à la cible de 14,32 %. Ce
manque à gagner est principalement attribuable aux charges de rémunération
incitative qui sont exclues du calcul du taux des produits liées au CAC. Les
taux des périodes précédentes permettaient une marge suffisante pour couvrir
les charges de rémunération incitative. En comparaison, pour le deuxième
trimestre de 2008, la marge contrôlable rajustée réelle était de 10,53 %, ce
qui était inférieur de 356 points de base, ou environ 8,2 M$, à la cible de
14,09 %.
Les produits liés au CAC ont grimpé de 8 %, en raison principalement
d'une hausse de la marge commerciale (de 16,40 % à 16,72 %) facturée par Jazz
en vertu du CAC à la suite du rendement de Jazz qui, de 2006 à 2008, dépassait
la marge cible contrôlable, d'une hausse des taux des coûts contrôlables liés
au CAC pour 2009 à 2011 et d'une hausse du taux de change du dollar américain;
ces hausses ont été contrebalancées par une réduction des heures cale à cale
facturables.
Le bénéfice net pour le deuxième trimestre s'est élevé à 25,4 M$,
comparativement à 23,6 M$, ce qui représente une hausse de 7,7 %.
Les états financiers consolidés intermédiaires non vérifiés du Fonds pour
le trimestre terminé le 30 juin 2009 et le rapport de gestion connexe qui
l'accompagne sont publiés sur le site Web de Jazz, à www.voljazz.ca, et sur le
site www.sedar.com. On peut aussi obtenir un exemplaire de ces documents en
écrivant au service des relations avec les investisseurs de Jazz, à l'adresse
investorsinfo@flyjazz.ca, ou en composant le 902-873-5094.Conférence téléphonique trimestrielle et diffusion Web audio à
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l'intention des investisseurs
-----------------------------Jazz tiendra une conférence téléphonique à 9 h HE, le jeudi 6 août 2009,
afin d'analyser les résultats du Fonds pour le deuxième trimestre. Il est
possible d'y participer en composant le 1-800-594-3615 ou le 416-644-3423 dans
la région de Toronto. La conférence sera diffusée simultanément sur le Web, en
mode audio, à l'adresse
http://www.newswire.ca/en/webcast/viewEvent.cgi?eventID=2729540, ou dans la
section des relations avec les investisseurs du site Web de Jazz à
www.voljazz.ca. Il s'agit d'une diffusion Web en mode audio seulement. Le
lecteur Media Player ou Real Player est nécessaire pour écouter la diffusion
audio; veuillez donc le télécharger bien avant la conférence.
La conférence téléphonique diffusée sur le Web sera archivée sur le site
des relations avec les investisseurs de Jazz, à l'adresse www.voljazz.ca. On
pourra également l'écouter en différé jusqu'à minuit HE, le jeudi 13 août
2009, en composant le 416-640-1917 ou le 1-877-289-8525 (sans frais), et en
entrant le numéro d'événement 21310635, suivi de la touche marquée d'un carré.
(1) Mesures financières non conformes aux PCGR
BAIIA
Le BAIIA (bénéfice avant intérêts, impôts, amortissements et
obsolescence) est une mesure financière non reconnue par les PCGR qui est
couramment utilisée dans tous les secteurs pour donner un aperçu des résultats
d'exploitation avant les intérêts débiteurs, les intérêts créditeurs, les
charges d'amortissement, les gains et pertes sur les immobilisations et les
autres produits et charges hors exploitation. La direction est d'avis que le
BAIIA aide les investisseurs à comparer les résultats du Fonds sur une base
constante sans égard à l'amortissement qui est un élément hors caisse et qui
peut varier sensiblement selon les méthodes comptables et les facteurs hors
exploitation tels que le coût historique. Le BAIIA ne devrait pas être utilisé
comme mesure exclusive des flux de trésorerie, car il ne tient pas compte de
l'incidence de la croissance du fonds de roulement, des dépenses en
immobilisations, du remboursement de la dette et d'autres entrées et sorties
de fonds, qui apparaissent dans l'état des flux de trésorerie.
ENCAISSE DISTRIBUABLE
L'encaisse distribuable est une mesure non conforme aux PCGR généralement
utilisée comme indicateur du rendement financier par les fiducies à capital
variable canadiennes. Elle ne doit pas être considérée comme une mesure de la
liquidité ou un substitut aux mesures comparables préparées conformément aux
PCGR. L'encaisse distribuable peut différer des calculs similaires présentés
par d'autres entités et, par conséquent, elle peut ne pas être comparable à
l'encaisse distribuable présentée par ces entités. Le lecteur doit se reporter
aux rapports de gestion du Fonds pour un rapprochement de l'encaisse
distribuable et des flux de trésorerie liés aux activités d'exploitation.
(2) CALCUL DU BENEFICE PAR PART
Le calcul du bénéfice par part du Fonds est fondé sur le bénéfice net
ajusté. Le bénéfice net ajusté est une mesure non conforme au PCGR définie de
la manière suivante : bénéfice net avant amortissement de l'actif lié au CAC,
autres charges d'exploitation engagées par Jazz et recouvrement d'impôts
futurs.MISE EN GARDE CONCERNANT LES ENONCES PROSPECTIFS
------------------------------------------------Le présent communiqué doit être lu parallèlement aux états financiers
consolidés intermédiaires non vérifiés et au rapport de gestion du deuxième
trimestre de 2009 du Fonds datés du 5 août 2009, lesquels ont été déposés
auprès des organismes canadiens de réglementation des valeurs mobilières
(disponibles à l'adresse www.sedar.com).
Le présent communiqué peut comporter certaines déclarations qui sont de
nature prospective. Ces énoncés prospectifs se reconnaissent à l'emploi de
termes ou d'expressions comme "prévoit", "croit", "pourrait", "estime",
"s'attend à", "a l'intention de", "peut", "planifie", "prédit", "projette",
"devrait", "suppose" et autres, qui soulignent les éventualités possibles et
font renvoi aux hypothèses retenues. Ces énoncés peuvent, entre autres, porter
sur des observations concernant des stratégies, des attentes, des activités
planifiées ou des actions à venir. Les énoncés prospectifs concernent des
analyses et d'autres informations qui sont fondées sur des prévisions de
résultats futurs, des estimations de montants ne pouvant être établis dans
l'immédiat et d'autres événements incertains. Par nature, les énoncés
prospectifs reposent sur des hypothèses, dont celles décrites ci-dessous, et
ils sont sujets à des risques et incertitudes importants. Aucune prévision ou
projection n'est donc entièrement fiable en raison, notamment, de l'évolution
des circonstances externes et de l'incertitude générale qui caractérise le
secteur. Ces énoncés mettent en jeu des risques connus et inconnus, des
incertitudes et d'autres facteurs susceptibles de faire différer sensiblement
les résultats, le rendement ou les réalisations réels de ceux qui sont exposés
dans les énoncés prospectifs. Les résultats présentés dans les énoncés
prospectifs peuvent différer sensiblement des résultats réels en raison de
divers facteurs, dont notamment, mais sans s'y limiter, les prix de l'énergie,
les conditions du secteur, du marché du crédit et de l'économie en général, la
concurrence, les questions liées aux assurances et les frais d'assurance, les
questions liées à l'approvisionnement, les conflits armés, les attentats
terroristes, les épidémies, les cas de force majeure, les fluctuations de la
demande dues au caractère saisonnier des activités, la capacité de réduire les
charges d'exploitation et les effectifs, et d'obtenir du financement, les
relations de travail, les négociations collectives ou les conflits de travail,
les restructurations, les questions liées à la retraite, les taux de change et
d'intérêt, l'évolution de la législation, les développements ou procédures
réglementaires défavorables, les litiges ou les poursuites en cours ou futurs
intentés par des tiers, de même que les facteurs définis sous la rubrique
"Facteurs de risque" du rapport de gestion annuel du Fonds de revenu Jazz Air
en date du 5 août 2009. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent
document représentent les attentes du Fonds et de Jazz en date du 30 juin 2009
et ils peuvent changer après cette date. Toutefois, le Fonds et Jazz déclinent
toute intention et obligation d'actualiser ou de réviser ces énoncés
prospectifs à la lumière de nouveaux éléments d'information, d'événements
futurs ou pour quelque autre motif que ce soit, sauf dans la mesure où les
lois sur les valeurs mobilières applicables l'exigent.
Fonds de revenu Jazz Air
Le Fonds est une fiducie à capital variable sans personnalité morale,
établie sous le régime des lois de la province de l'Ontario. Il a été créé en
vue d'acquérir et de détenir indirectement une participation dans les parts de
société en commandite en circulation de Jazz.
Jazz est la deuxième société aérienne en importance au Canada, compte
tenu de la taille de son parc aérien et du nombre de liaisons qu'elle
exploite. Jazz effectue plus de vols et dessert plus de villes canadiennes que
tout autre transporteur canadien. Jazz fait partie intégrante de la stratégie
et de la présence d'Air Canada sur les marchés intérieur et transfrontalier.
Jazz se démarque des autres sociétés aériennes. Jazz a conclu avec Air
Canada une entente commerciale qui est au coeur de ses activités. Dans le
cadre du CAC, Air Canada achète actuellement la quasi-totalité de la capacité
du parc aérien de Jazz à des taux prédéterminés. Le CAC confère une plus
grande souplesse commerciale à Air Canada, en plus de lui permettre de
diminuer le coût des vols et d'assurer la correspondance des vols au sein de
son réseau.
