Chorus Aviation Inc. annonce ses résultats financiers du troisième trimestre de 2012

Résultat par action de 0,30 $
Rentabilité trimestrielle constante depuis 2006

HALIFAX, le 13 nov. 2012 /CNW/ – Chorus Aviation Inc. (« Chorus ») (TSX: CHR.B CHR.A CHR.DB) a annoncé aujourd'hui ses résultats du troisième trimestre de 2012, soit un résultat net de 37,2 M$, ou 0,30 $ par action de base, et un résultat net ajusté1 de 27,1 M$, ou 0,22 $ par action de base.

FAITS SAILLANTS DU T3 2012

  • Produits opérationnels de 435,6 M$
  • Flux de trésorerie disponibles1 de 37,8 M$, ou 0,31 $ par action de base
  • Résultat opérationnel de 36,7 M$
  • Résultat net de 37,2 M$ ou 0,30 $ par action de base
  • Résultat net ajusté1 de 27,1 M$, ou 0,22 $ par action de base
  • Heures cale à cale facturables de 104 393

 

« Je suis très satisfait de notre performance financière et opérationnelle du troisième trimestre », a affirmé Joseph Randell, président et chef de la direction de Chorus. Les flux de trésorerie demeurent vigoureux, et les efforts soutenus des employés de Jazz en vue d'assurer un excellent service à la clientèle se sont traduits par une augmentation de 1,1 M$ des mesures incitatives liées au rendement par rapport à la période comparable de l'exercice précédent. »

« Au troisième trimestre, nous avons également réussi à conclure de nouvelles conventions collectives avec les régulateurs de vols et le personnel de la Maintenance et Ingénierie de Jazz. D'ailleurs, je remercie toutes les personnes concernées de leur dévouement et de leurs efforts soutenus, a poursuivi M. Randell. Jazz a également eu l'honneur d'être reconnue par Canada's Top Employers en tant qu'employeur de choix pour les jeunes Canadiens en 2012. Cette mention toute particulière récompense les employeurs qui offrent aux plus jeunes travailleurs les meilleurs avantages au pays et qui sont des chefs de file canadiens en matière de recrutement et de rétention d'employés plus jeunes au sein de leur organisation. »

« Nous sommes conscients du fait que le retard dans l'obtention d'un règlement de la comparaison de 2009 est préoccupant, a indiqué M. Randell. Les clarifications attendues au sujet de certains rajustements des données liées aux coûts contrôlables nécessaires pour assurer une comparaison juste et raisonnable par rapport au groupe d'exploitants régionaux sont cruciales pour mener à bien cette comparaison, peu importe la méthode utilisée. Nous sommes d'avis que l'application correcte de la méthode d'Air Canada, de concert avec les rajustements appropriés indiqués dans la décision initiale du groupe d'arbitrage, ne devrait pas donner lieu à un ajustement du taux de majoration des coûts contrôlables. Nous prévoyons que les questions ayant trait à cet arbitrage seront réglées au plus tard au premier trimestre de 2013. Nous continuons de nous concentrer sur l'obtention d'un règlement tout en privilégiant la consolidation de nos assises, l'amélioration de la compétitivité de nos coûts et l'accroissement de la valeur pour toutes nos parties prenantes. »

Performance financière – Comparaison des troisièmes trimestres des exercices 2012 et 2011

Les produits opérationnels ont augmenté, passant de 411,7 M$ à 435,6 M$, soit une hausse de 24,0 M$, ou 5,8 %. Les produits opérationnels liés aux passagers, exception faite des coûts refacturés, ont progressé de 19,0 M$, ou 7,6 %, principalement en raison d'une hausse de 1,9 % des heures cale à cale facturables, des hausses de taux effectuées conformément au contrat d'achat de capacité (« CAC ») conclu avec Air Canada, de l'appréciation du dollar américain et d'une augmentation de 1,1 M$ des mesures incitatives obtenues au titre du CAC. Les coûts refacturés ont augmenté, passant de 160,8 M$ à 166,1 M$, soit de 5,3 M$, ou 3,3 %, dont un montant de 1,5 M$ lié au carburant. Les autres produits ont baissé de 0,3 M$.

Les charges opérationnelles sont passées de 380,6 M$ à 399,0 M$, soit une augmentation de 18,4 M$, ou 4,8 %. Les coûts contrôlables ont augmenté de 13,1 M$, ou 6,0 %. Les charges opérationnelles contrôlables ont varié du fait des changements apportés à la structure de propriété du parc aérien pour les appareils Q400. Les appareils CRJ100, auparavant présentés en vertu de contrats de location simple, sont en voie d'être remplacés par des appareils Q400 appartenant à la Société. Les coûts liés à la propriété afférents regroupent l'amortissement (une charge opérationnelle) et les intérêts (une charge non opérationnelle). Les produits de la location des appareils Q400 en vertu du CAC sont comptabilisés dans les produits opérationnels et servent à compenser Chorus pour l'amortissement et les charges d'intérêts. Comme les charges d'intérêts sont présentées sous la marge bénéficiaire, le résultat opérationnel a augmenté d'un montant similaire en glissement trimestriel.

La charge d'amortissement a augmenté de 3,3 M$, dont un montant de 3,1 M$ est lié à l'achat d'appareils Q400, le reste étant imputable à l'augmentation des dépenses en immobilisations liées aux pièces durables et autres équipements, éléments ayant été compensés par une diminution des travaux de maintenance et de révision importants et certains actifs qui sont maintenant entièrement amortis.

Les dépenses de maintenance ont augmenté de 4,0 M$, en raison de la hausse de 0,8 M$ des coûts liés au nombre accru d'heures cale à cale, de l'incidence de 0,3 M$ de l'appréciation du dollar américain sur certains achats de matériel, de la progression de 1,4 M$ des autres coûts de maintenance, ainsi que d'une augmentation de 1,5 M$ des coûts des activités de maintenance des moteurs.

Les salaires et avantages du personnel ont augmenté de 7,4 M$, ce qui est attribuable à la hausse des salaires et des échelles de rémunération en vertu des nouvelles conventions collectives, à l'augmentation du nombre d'heures cale à cale, à l'accroissement des charges liées au régime de rémunération incitative et à la progression des charges de retraite découlant de la révision de l'évaluation actuarielle et d'une capitalisation moindre des salaires et avantages du personnel reliés aux travaux de maintenance et de révision importants, le tout compensé par une réduction de 3,7 % du nombre d'employés équivalents temps plein.

Les charges diverses ont reculé de 0,7 M$ essentiellement en raison de la diminution des honoraires professionnels et des coûts indirects généraux, le tout compensé par la hausse des dépenses liées aux équipages en raison de niveaux d'activité et de taux accrus.

Les produits non opérationnels ont augmenté de 19,8 M$. Cette variation est attribuable principalement à un profit de change de 10,7 M$ (dont un montant de 10,0 M$ est lié à un profit de change latent sur la dette à long terme et sur des contrats de location-financement) résultant de la variation de la valeur du dollar canadien par rapport au dollar américain, profit contrebalancé par des charges d'intérêts en hausse liées au financement des appareils Q400 de 1,8 M$.

Le BAIIA1 s'est élevé à 51,8 M$, comparativement à 43,0 M$ en 2011, une hausse de 8,8 M$, ou 20,7 %, générant une marge du BAIIA de 11,9 %. Les flux de trésorerie disponibles se sont établis à 37,8 M$, une hausse de 8,7 M$, ou 30,0 %, par rapport à 29,1 M$.

Le résultat opérationnel de 36,7 M$ pour le trimestre clos le 30 septembre 2012 est en hausse de 5,6 M$ ou de 17,9 % par rapport à 31,1 M$ au troisième trimestre de 2011.

Le résultat net a atteint 37,2 M$, ou 0,30 $ par action de base, pour le troisième trimestre de 2012, par rapport à 13,9 M$, ou 0,19 $ par action de base, soit une progression de 23,3 M$, ou 167,1 %.

Arbitrage de la question de la comparaison (se reporter à la Section 14 du rapport de gestion du troisième trimestre 2012 de Chorus pour obtenir de plus amples renseignements)

Comme il a été annoncé les 3 et 4 octobre 2012, le groupe d'arbitrage (les « arbitres ») a rendu sa décision (la « décision ») au sujet de la comparaison de 2009 entre Jazz Aviation S.E.C. (« Jazz ») (filiale en propriété exclusive de Chorus) et Air Canada.

Dans la décision, deux des trois arbitres ont conclu que la méthode fondée sur la composante d'inducteur de coûts unitaires (« CICU ») proposée par Air Canada était la méthode appropriée aux fins de la comparaison de 2009 des coûts unitaires de Jazz par rapport à la médiane des coûts unitaires contrôlables, rajustée en fonction de la distance cale à cale, du groupe d'exploitants comparables. Toutefois, les arbitres ont également convenu avec Jazz que certains des rajustements additionnels proposés par Jazz étaient également nécessaires (les « rajustements »). Les arbitres ont par ailleurs convenu avec Jazz que l'âge du parc aérien a une incidence sur le taux d'augmentation des coûts associés à la maintenance. Les arbitres ont enjoint Air Canada et Jazz à négocier un autre rajustement qui tiendrait compte de l'incidence de l'âge du parc aérien, à défaut de quoi les parties soumettront de nouvelles propositions et analyses aux arbitres.

Des différends demeurent entre les parties en ce qui a trait à l'interprétation et à l'application de la décision et son incidence sur le taux de majoration des coûts contrôlables. Jazz estime que, après application de la méthode de la CICU, et selon l'application appropriée des rajustements jugés nécessaires par les arbitres, il découle de la comparaison de 2009 que Jazz n'est tenue de rembourser à Air Canada aucun des montants versés depuis le 1er janvier 2010, et que son taux de majoration des coûts contrôlables demeurera à 12,50 %, et ce, au moins jusqu'à la comparaison de 2015.

En revanche, Air Canada a affirmé à Jazz qu'elle estime que les rajustements jugés nécessaires par les arbitres auraient pour effet d'abaisser le taux de majoration des coûts contrôlables à 11,41 %. Cependant, cela ne prend aucunement en compte l'éventuelle incidence que le rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien décrit plus haut aurait sur le taux de majoration des coûts contrôlables. Lors de l'audition, Air Canada a indiqué qu'elle considérait qu'il ne devrait y avoir aucun rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien. Jazz considère que, étant donné que son parc aérien est plus ancien que ceux des exploitants comparables, tout éventuel rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien entraînerait un taux de majoration des coûts contrôlables supérieur à 11,41 %, même si les arbitres devaient autrement accepter la position d'Air Canada au sujet de l'incidence de chacun des autres rajustements jugés nécessaires par les arbitres.

Les parties ont fixé une autre audition de l'arbitrage durant la dernière semaine de novembre 2012 afin de régler les questions litigieuses en suspens, notamment l'incidence du rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien. En conséquence, l'incidence, le cas échéant, sur le taux de majoration des coûts contrôlables de Jazz ne peut être définie pour le moment avec une certitude raisonnable. Chorus prévoit avoir réglé toutes les questions d'ici le premier trimestre de 2013 au plus tard.

Chorus n'a comptabilisé aucun montant en 2010, en 2011 ou en 2012 au titre de cette demande, la direction ayant conclu qu'il est peu probable que la demande d'Air Canada soit fructueuse, et que l'incidence financière possible, s'il en est, ne peut être estimée d'une manière suffisamment fiable.

Les états financiers consolidés intermédiaires condensés non audités de Chorus Aviation Inc. pour le trimestre clos le 30 septembre 2012 et le rapport de gestion connexe sont accessibles à www.chorusaviation.ca et à www.sedar.com. On peut aussi obtenir un exemplaire de ces documents en écrivant au service des relations avec les investisseurs, à investorsinfo@chorusaviation.ca, ou en composant le 902 873-5094.

Conférence téléphonique et diffusion Web audio à l'intention des investisseurs

Chorus tiendra une conférence téléphonique à 9 h 30, HE, le mercredi 14 novembre 2012, afin d'analyser ses résultats du troisième trimestre. On peut participer à la conférence en composant le 1 888 231-8191. La conférence sera diffusée simultanément sur le Web, en mode audio à l'adresse : http://www.newswire.ca/fr/webcast/detail/1054489/1146145 et elle sera également accessible dans la section des relations avec les investisseurs à www.chorusaviation.ca. Il s'agit d'une diffusion Web en mode audio seulement. Le lecteur Media Player ou Real Player est nécessaire pour écouter la diffusion audio; veuillez donc le télécharger bien avant la conférence.

La conférence téléphonique diffusée sur le Web sera archivée sur le site des relations avec les investisseurs de Chorus, à l'adresse www.chorusaviation.ca. On pourra également l'écouter en différé jusqu'à minuit, HE, le 21 novembre 2012, en composant le 416 849-0833, ou le 1 855 859-2056 (sans frais), et en entrant le code d'accès 50106348, suivi de la touche marquée d'un carré.

1 Mesures financières non conformes aux PCGR

BAIIA
Le BAIIA (bénéfice avant intérêts, impôts, amortissements et obsolescence) est une mesure financière non reconnue par les PCGR qui est couramment utilisée dans tous les secteurs pour donner un aperçu des résultats opérationnels avant les charges d'intérêts, le produit d'intérêts, l'amortissement, les profits et pertes sur les immobilisations et les autres produits et charges non opérationnels. La direction est d'avis que le BAIIA aide les investisseurs à comparer les résultats de Chorus sur une base constante sans égard à l'amortissement qui est un élément hors caisse et qui peut varier sensiblement selon les méthodes comptables et les facteurs non opérationnels tels que le coût historique. Le BAIIA ne devrait pas être utilisé comme mesure exclusive des flux de trésorerie, car il ne tient pas compte de l'incidence de la croissance du fonds de roulement, des dépenses en immobilisations, du remboursement de la dette et d'autres entrées et sorties de fonds, qui figurent dans l'état des flux de trésorerie faisant partie des états financiers.

FLUX DE TRÉSORERIE DISPONIBLES
Avant la conversion en société par actions, l'encaisse distribuable était un indicateur de rendement clé utilisé par la direction pour évaluer le rendement actuel du Fonds de revenu Jazz Air. L'encaisse distribuable n'est pas une mesure couramment utilisée lorsqu'il est question d'une société ouverte. La direction croit cependant que cette expression est bien connue de ses actionnaires et publie des données sur les flux de trésorerie disponibles afin de remplacer les renseignements auparavant communiqués au sujet de l'encaisse distribuable. Les flux de trésorerie disponibles sont calculés de la même façon que l'encaisse distribuable. Les flux de trésorerie disponibles sont définis comme étant le BAIIA, moins les charges non opérationnelles, les investissements de maintien pour soutenir l'exploitation, ajusté en fonction des profits ou des pertes de change latents sur la dette à long terme et les contrats de location-financement ainsi que tout élément non opérationnel ponctuel et inhabituel. Les autres dépenses en immobilisations engagées pour faciliter la croissance de l'entreprise sont exclues de ce calcul.

RÉSULTAT NET AJUSTÉ
Le résultat net ajusté et le résultat ajusté par action sont calculés en ajustant le résultat net en fonction du montant des profits et des pertes de change latents sur la dette à long terme et les contrats de location-financement. Pour le troisième trimestre de 2012, Chorus a enregistré un profit de change latent de 10,0 M$ sur la dette à long terme et sur les contrats de location-financement. Cet ajustement montre plus clairement le résultat d'un point de vue opérationnel.

Mise en garde concernant les énoncés prospectifs

Le présent communiqué doit être lu parallèlement aux états financiers consolidés intermédiaires condensés non audités de Chorus pour la période de trois mois close le 30 septembre 2012 ainsi qu'au rapport de gestion daté du 13 novembre 2012; ces documents ont été déposés auprès des organismes canadiens de réglementation des valeurs mobilières (on peut les consulter à l'adresse www.sedar.com).

Le présent communiqué peut comporter certaines déclarations qui sont de nature prospective. Ces énoncés prospectifs se reconnaissent à l'emploi de termes ou d'expressions comme « prévoit », « croit », « pourrait », « estime », « s'attend à », « a l'intention de », « peut », « planifie », « prédit », « projette », « devrait », « suppose » et autres, ce qui comprend les allusions aux hypothèses. Ces énoncés peuvent, entre autres, porter sur des observations concernant des stratégies, des attentes, des activités planifiées ou des actions à venir.

Les énoncés prospectifs concernent des analyses et d'autres informations qui sont fondées sur des prévisions de résultats futurs, des estimations de montants ne pouvant être établis dans l'immédiat et d'autres événements incertains. Par nature, les énoncés prospectifs reposent sur des hypothèses, dont celles décrites ci-dessous, et ils sont sujets à des risques et incertitudes importants. Aucune prévision ou projection n'est donc entièrement fiable en raison, notamment, de l'évolution des circonstances externes et de l'incertitude générale qui caractérise le secteur. Ces énoncés mettent en jeu des risques connus et inconnus, des incertitudes et d'autres facteurs susceptibles de faire différer sensiblement les résultats, le rendement ou les réalisations réels de ceux qui sont exposés dans les énoncés prospectifs. Les résultats présentés dans les énoncés prospectifs peuvent différer sensiblement des résultats réels en raison de divers facteurs, ce qui comprend, mais sans s'y limiter, les risques liés aux relations de Chorus avec Air Canada, les risques liés au secteur du transport aérien, les prix de l'énergie, les conditions du secteur, du marché, du crédit et de l'économie en général, la concurrence, les questions et coûts d'assurances, les questions d'approvisionnement, les conflits armés, les attentats terroristes, les épidémies, les catastrophes naturelles, les fluctuations de la demande dues au caractère saisonnier des activités, la capacité de réduire les charges opérationnelles et les effectifs, la capacité d'obtenir du financement, les relations de travail, les négociations collectives ou les conflits de travail, les restructurations, les enjeux en matière de retraite, les taux de change et d'intérêt, les clauses restrictives en matière d'emprunt et de restructuration liées aux dettes futures, la dilution des actionnaires de Chorus, l'incertitude entourant les versements de dividendes, la gestion de la croissance, l'évolution de la législation, les faits nouveaux ou procédures réglementaires défavorables de même que les litiges ou les poursuites en cours ou futurs intentés par des tiers. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent document représentent les attentes de Chorus en date du 13 novembre 2012 et pourraient changer après cette date. Chorus décline toutefois toute intention ou obligation d'actualiser ou de réviser ces énoncés prospectifs à la lumière de nouveaux éléments d'information, d'événements futurs ou pour quelque autre motif que ce soit, sauf dans la mesure où les lois sur les valeurs mobilières applicables l'exigent.

Chorus Aviation Inc.

Chorus Aviation Inc. (« Chorus »), qui a été constituée en société le 27 septembre 2010, est une société de portefeuille versant des dividendes. Elle est propriétaire de Jazz Aviation S.E.C, de Chorus Leasing I Inc., de Chorus Leasing II Inc., et de Chorus Leasing III Inc. (sociétés de location propriétaires des appareils Q400).

Les titres de Chorus sont négociés à la Bourse de Toronto sous les symboles CHR.A, CHR.B et CHR.DB.

Pour en savoir plus, consultez www.chorusaviation.ca.

Jazz Aviation S.E.C.

Jazz Aviation S.E.C. est bien implantée dans l'industrie canadienne de l'aviation, ses origines remontant aux années 1930. Jazz est la propriété exclusive de Chorus Aviation Inc. et continue d'afficher des résultats financiers et opérationnels qui figurent parmi les meilleurs du secteur du transport aérien en Amérique du Nord.

Jazz Aviation S.E.C. exerce ses activités par l'intermédiaire de deux divisions de transport aérien : Air Canada Express et Jazz.

Air Canada Express : En vertu d'un contrat d'achat de capacité conclu avec Air Canada, Jazz dessert des marchés à faible trafic ainsi que des marchés à trafic élevé pendant les périodes hors pointe dans tout le Canada et certaines villes des États-Unis. Au troisième trimestre de 2012, Jazz a exploité pour le compte d'Air Canada un service régulier de transport de passagers qui prévoyait environ 827 départs par jour de semaine à destination de 84 villes du Canada et des États-Unis à l'aide d'un parc aérien composé d'avions fabriqués au Canada par Bombardier.

Jazz : Sous la marque Jazz, la société aérienne assure des vols nolisés à l'échelle de l'Amérique du Nord au moyen d'un parc aérien composé de cinq appareils de Bombardier. Ces services s'adressent aux entreprises, aux organismes gouvernementaux, aux groupes d'intérêts particuliers et aux personnes qui recherchent plus de commodité. Jazz peut aussi offrir divers services aux exploitants de sociétés aériennes : services au sol, régulation des vols, planification de la charge marchande, formation et services-conseils.

Pour obtenir plus d'information, veuillez consulter le site www.voljazz.ca.

SOURCE : CHORUS AVIATION INC.