Chorus Aviation Inc. annonce ses résultats financiers du quatrième trimestre et de l'exercice 2012 et son intention de lancer une offre publique de rachat dans le cours normal des activités
Le résultat net ajusté annuel par action augmente à 0,77 $
Rentabilité trimestrielle constante depuis 2006
HALIFAX, le 20 févr. 2013 /CNW/ – Chorus Aviation Inc. (« Chorus ») (TSX: CHR.B CHR.A CHR.DB) a annoncé aujourd'hui ses résultats du quatrième trimestre et de l'exercice 2012. Les faits saillants sont décrits ci-dessous.
FAITS SAILLANTS DU T4 2012
- Produits opérationnels de 411,7 M$.
- Flux de trésorerie disponibles1 de 30,3 M$, ou 0,24 $ par action de base.
- Résultat opérationnel de 25,4 M$.
- Résultat net de 14,7 M$ ou 0,12 $ par action de base.
- Résultat net ajusté1 de 17,9 M$, ou 0,14 $ par action de base.
- Heures cale à cale facturables de 97 249.
FAITS SAILLANTS DE L'EXERCICE 2012
- Produits opérationnels de 1 710,7 M$.
- Flux de trésorerie disponibles1 de 139,8 M$, ou 1,13 $ par action de base.
- Résultat opérationnel de 128,6 M$.
- Résultat net de 101,1 M$ ou 0,81 $ par action de base.
- Résultat net ajusté1 de 95,5 M$, ou 0,77 $ par action de base.
- Heures cale à cale facturables de 404 101.
« Je suis satisfait de notre performance financière et opérationnelle du quatrième trimestre et de l'exercice, a affirmé Joseph Randell, président et chef de la direction de Chorus. La hausse de notre résultat opérationnel de 26,6 M$ est attribuable à la marge opérationnelle de nos activités de location des appareils Q400, à l'indemnité de résiliation non récurrente versée par Thomas Cook et aux paiements incitatifs gagnés en vertu du contrat d'achat de capacité (« CAC »). L'attention soutenue que nous portons à la sécurité et à l'excellence opérationnelle a donné lieu à une augmentation de 4,4 M$ des paiements incitatifs liés au rendement en 2012 par rapport à 2011 alors que nous avons constamment maintenu le niveau de ponctualité le plus élevé parmi les principaux transporteurs canadiens. C'est une remarquable réussite si on considère que nous assurons le plus grand nombre de vols quotidiens au Canada et que nous desservons plus de destinations canadiennes que tout autre transporteur. Je félicite nos employés pour leur travail exceptionnel et leur extraordinaire dévouement. »
« La résolution de l'arbitrage de la question de la comparaison avec Air Canada a malheureusement été de nouveau retardée, a poursuivi M. Randell. Bien qu'il n'y ait aucune certitude quant à l'issue du processus, nous demeurons confiants au sujet de notre position et nous continuons de travailler en vue de parvenir à une conclusion satisfaisante par rapport aux points encore en litige. Entre-temps, nous nous préparons pour l'avenir en nous concentrant sur les impératifs de la compétitivité des coûts tout en consolidant nos assises. Cela nous permettra de soutenir une organisation forte. »
Performance financière – Comparaison des quatrièmes trimestres des exercices 2012 et 2011
Les produits opérationnels ont augmenté, passant de 407,7 M$ à 411,7 M$, ce qui représente une hausse de 4,0 M$, ou 1,0 %. Les produits opérationnels liés aux passagers, exception faite des coûts refacturés, ont progressé de 4,9 M$, ou 2,0 %, en raison principalement d'une hausse des heures cale à cale facturables, des hausses de taux effectuées conformément au CAC conclu avec Air Canada, de produits accrus liés à un nouveau contrat d'entretien des moteurs pour les appareils Q400 de 5,5 M$, et d'une augmentation de 0,1 M$ des paiements incitatifs gagnés en vertu du CAC ; ces hausses sont contrebalancées par une dépréciation du dollar américain et par l'absence d'activité pendant le trimestre pour le compte de Thomas Cook. Les coûts refacturés ont diminué, passant de 158,4 M$ à 157,4 M$, une baisse de 1,0 M$, ou 0,7 %, qui comprenait une hausse de 1,8 M$ liée aux coûts du carburant. Les autres produits ont augmenté de 0,1 M$.
Les charges opérationnelles sont passées de 382,4 M$ à 386,3 M$, soit une augmentation de 3,8 M$, ou 1,0 %. Les coûts contrôlables ont augmenté de 4,9 M$, ou 2,2 %, une augmentation contrebalancée par une baisse de 1,0 M$ des coûts refacturés.
La charge d'amortissement a augmenté de 2,1 M$, en lien principalement avec l'achat d'appareils Q400, le reste étant imputable à l'augmentation des dépenses en immobilisations liées aux pièces durables et autres équipements, éléments ayant été compensés par une diminution des travaux de maintenance et de révision importants et certains actifs qui sont maintenant entièrement amortis.
Les dépenses de maintenance des appareils ont augmenté de 7,9 M$ en raison de la hausse de 0,6 M$ des coûts liés au nombre accru d'heures cale à cale, du coût accru de la maintenance dans le cadre d'un nouveau contrat de maintenance de 5,5 M$ pour les appareils Q400, du coût accru de la révision des moteurs sur des avions affrétés de 1,2 M$, d'un ajustement de stocks de 1,6 M$ et d'une hausse d'autres coûts de maintenance de 1,9 M$; ces éléments ont été contrebalancés par une baisse des travaux de maintenance des moteurs attribuable à des charges liées aux moteurs pour les appareils CRJ de 1,8 M$ et à l'incidence d'une dépréciation du dollar américain sur certains achats de matériel de 1,1 M$.
Les frais de location d'appareils ont reculé de 4,4 M$ en raison surtout de l'absence de charges au quatrième trimestre pour les appareils de Thomas Cook, de l'incidence de la restitution des appareils CRJ de 2,1 M$ et de l'incidence de la dépréciation du dollar américain de 0,9 M$.
Les salaires et avantages du personnel ont baissé de 2,1 M$, ce qui est attribuable principalement à une réduction du nombre d'employés équivalents plein temps; la baisse a été contrebalancée par des hausses des salaires et des échelles de rémunération en vertu des nouvelles conventions collectives, par l'accroissement des charges liées au régime de rémunération incitative, des charges de retraite découlant de la révision de l'évaluation actuarielle et par une capitalisation moindre des salaires et avantages du personnel reliés aux travaux de maintenance et de révision importants.
Les autres charges ont diminué de 0,7 M$ en raison surtout de la baisse des frais généraux et des honoraires professionnels.
Les charges non opérationnelles ont augmenté de 10,2 M$. Cette variation est principalement attribuable à une perte de change de 3,8 M$ (dont une tranche de 3,3 M$ est liée à une perte de change latente sur la dette à long terme et sur les contrats de location financement) découlant de la variation de la valeur du dollar canadien par rapport au dollar américain et de la hausse de 1,0 M$ des charges d'intérêts liées au financement des appareils Q400.
Le BAIIA1 s'est élevé à 40,2 M$, comparativement à 38,0 M$ en 2011, une hausse de 2,2 M$, ou 5,9 %, générant une marge du BAIIA de 9,8 %. Les flux de trésorerie disponibles se sont établis à 30,3 M$, une hausse de 1,0 M$ ou de 3,3 % par rapport à 29,4 M$.
Le résultat opérationnel de 25,4 M$ pour le trimestre clos le 31 décembre 2012 était en hausse de 0,1 M$ ou 0,4 % par rapport à 25,3 M$ au quatrième trimestre de 2011.
Le résultat net a atteint 14,7 M$, ou 0,12 $ par action de base, pour le quatrième trimestre de 2012, par rapport à 22,7 M$, ou 0,18 $ par action de base, soit une baisse de 8,0 M$, ou 35,3 %. Sur une base ajustée, le résultat net s'est établi à 17,9 M$, ou 0,14 $ par action de base, par rapport à 19,6 M$, ou 0,16 $ par action de base, soit une baisse de 8,3 %, ou 0,02 $ par action de base.
Performance financière – Comparaison des exercices 2012 et 2011
Les produits opérationnels ont augmenté, passant de 1 664,5 M$ à 1 710,7 M$, ce qui représente une hausse de 46,2 M$, ou 2,8 %. Les produits opérationnels liés aux passagers, exception faite des coûts refacturés, ont progressé de 56,8 M$, ou 5,8 %, en raison principalement de l'indemnité de 9,0 M$ liée à la résiliation hâtive de l'entente de services aériens avec Thomas Cook, d'une hausse de 0,7 % des heures cale à cale facturables, des hausses de taux effectuées conformément au CAC conclu avec Air Canada, de l'appréciation du dollar américain et d'une augmentation de 4,4 M$ des paiements incitatifs gagnés au titre du CAC. Les coûts refacturés sont passés de 670,6 M$ à 659,3 M$, soit une baisse de 11,3 M$, ou 1,7 %, dont un montant de 14,6 M$ lié au carburant. Les autres produits ont augmenté de 0,7 M$.
Les charges opérationnelles sont passées de 1 562,5 M$ à 1 582,1 M$, soit une augmentation de 19,6 M$, ou 1,3 %. Les coûts contrôlables ont augmenté de 30,9 M$, ou 3,5 %, une augmentation contrebalancée par une baisse de 11,3 M$ des coûts refacturés.
Les charges non opérationnelles ont baissé de 4,1 M$. Cette variation est attribuable principalement à un gain de change de 5,9 M$ (dont un montant de 5,6 M$ est lié à un gain de change latent sur la dette à long terme et sur des contrats de location financement) résultant de la variation de la valeur du dollar canadien par rapport au dollar américain, gain contrebalancé par des charges d'intérêts en hausse liées au financement des appareils Q400 de 6,6 M$.
Le BAIIA1 s'est élevé à 185,3 M$, comparativement à 146,1 M$ en 2011, une hausse de 39,3 M$, ou 26,9 %, générant une marge du BAIIA de 10,8 %. Les flux de trésorerie disponibles se sont établis à 139,8 M$, une hausse de 33,0 M$ ou de 30,9 % par rapport à 106,8 M$.
Le résultat opérationnel de 128,6 M$ pour l'exercice clos le 31 décembre 2012 était en hausse de 26,6 M$, ou 26,1 %, par rapport à 101,9 M$ pour l'exercice 2011.
Le résultat net a atteint 101,1 M$, ou 0,81 $ par action de base, pour l'exercice 2012, par rapport à 68,1 M$, ou 0,55 $ par action de base, soit une progression de 33,0 M$, ou 48,4 %. Sur une base ajustée, le résultat net s'est établi à 95,5 M$, ou 0,77 $ par action de base, par rapport à 71,7 M$, ou 0,58 $ par action, soit une hausse de 23,8 M$, ou 33,3 %.
Arbitrage de la question de la comparaison (se reporter à la Section 14 « Economic Dependence » et à la Section 19 « Risks Relating to Current Legal Proceedings » du rapport de gestion de 2012 de Chorus pour obtenir de plus amples renseignements)
Comme il a été annoncé les 2 et 3 octobre 2012, le groupe d'arbitrage (le « groupe ») a rendu sa décision (la « décision ») au sujet de la comparaison de 2009 entre Jazz Aviation S.E.C. (« Jazz ») (filiale en propriété exclusive de Chorus) et Air Canada.
Dans la décision, deux des trois arbitres ont conclu que la méthode fondée sur la composante d'inducteur de coûts unitaires (« CICU ») proposée par Air Canada était la méthode appropriée aux fins de la comparaison de 2009 des coûts unitaires de Chorus par rapport à la médiane des coûts unitaires contrôlables, rajustée en fonction de la distance cale à cale, du groupe d'exploitants comparables. Toutefois, les arbitres ont également convenu avec Chorus que certains des rajustements additionnels proposés par Chorus étaient également nécessaires (les « rajustements »), mais n'ont pas fourni de lignes directrices pour le calcul de ces rajustements. Les arbitres ont par ailleurs convenu avec Chorus que l'âge du parc aérien a une incidence sur le taux d'augmentation des coûts associés à la maintenance. Cependant, les arbitres n'ont pas précisé de méthodologie pour calculer le rajustement lié à l'âge du parc aérien et ont enjoint Air Canada et Chorus de négocier un rajustement qui tiendrait compte de l'incidence de l'âge du parc aérien sur la progression de l'augmentation des coûts de maintenance (le « rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien »), à défaut de quoi les parties soumettront de nouvelles propositions et analyses aux arbitres sur cette question.
Des différends demeurent entre les parties en ce qui a trait à l'interprétation et à l'application de la décision et son incidence sur le taux de majoration des coûts contrôlables. Les parties n'ont pas été en mesure de se mettre d'accord sur le calcul de certains des rajustements ni sur le rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien.
Lors de l'audition, Air Canada a indiqué qu'elle considérait qu'il ne devrait y avoir aucun rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien, mais elle est maintenant d'avis qu'un rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien devrait être fait et qu'un tel rajustement devrait être en sa faveur. Le rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien, tel que revendiqué par Air Canada, aurait pour effet de réduire considérablement le taux de majoration des coûts contrôlables, le faisant passer sous le taux de 11,41 % qui, selon ce qu'invoque Air Canada, devrait normalement résulter de l'application des autres rajustements.
Chorus demeure convaincue, étant donné l'âge plus élevé de son parc aérien par rapport à celui des exploitants comparables concernés, et conformément à sa position lors de l'audience initiale, que tout rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien serait uniquement à l'avantage de Chorus et qu'ainsi, peu importe la décision à l'égard de l'autre rajustement, le rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien devrait entraîner le maintien du taux de majoration des coûts contrôlables à 12,50 % au moins jusqu'à la comparaison de 2015 et elle ne devrait pas être tenue de rembourser des montants à Air Canada pour ce qui est de paiements effectués depuis le 1er janvier 2010.
À la suite de la publication de la décision, les parties avaient fixé une autre audition de l'arbitrage durant la dernière semaine de novembre 2012 afin de régler les questions litigieuses en suspens, notamment l'incidence du rajustement tenant compte de l'âge du parc aérien. Cette audition a par la suite été reportée jusqu'à la dernière semaine de janvier 2013, puis jusqu'à la première semaine d'avril 2013 afin de donner aux parties un délai supplémentaire pour faire valoir leurs arguments sur les questions encore en litige.
Offre publique de rachat dans le cours normal des activités
Chorus a également annoncé aujourd'hui qu'elle entendait lancer une offre publique de rachat. Aux termes de l'offre, qui est assujettie à l'acceptation de la Bourse de Toronto (la « TSX »), Chorus aura le droit d'acheter aux fins d'annulation un maximum de 11 087 520 de ses actions à droit de vote variable de catégorie A et/ou de ses actions à droit de vote de catégorie B (collectivement, les « actions »), représentant 10 % du flottant des actions. Au 19 février 2013, 124 015 471 actions de Chorus étaient émises et en circulation, dont 110 875 196 actions constituent le flottant total des actions. Les achats aux termes de l'offre seront effectués sur le marché libre par l'intermédiaire de la TSX, conformément aux règles et aux politiques de la TSX. Chorus projette de commencer l'offre vers le 28 février 2013 et de la maintenir en vigueur pendant l'année qui suit la date à laquelle les achats commencent. Les actions achetées par Chorus aux termes de l'offre seront annulées. Chorus n'a acheté aucune action ordinaire pendant la dernière année aux termes de quelque offre publique de rachat que ce soit.
« Les administrateurs et la direction de Chorus estiment que le cours des actions durant la période de validité de l'offre pourrait faire en sorte que l'achat d'actions par Chorus aux fins d'annulation serait dans l'intérêt de Chorus et constituerait une utilisation appropriée des fonds de l'entreprise à la lumière des bénéfices potentiels que les actionnaires restants pourraient en tirer », a affirmé M. Randell.
Les états financiers consolidés audités de Chorus Aviation Inc. pour les exercices clos le 31 décembre 2012 et le 31 décembre 2011 et le rapport de gestion connexe sont accessibles à www.chorusaviation.ca et à www.sedar.com. On peut aussi obtenir un exemplaire de ces documents en écrivant au service des relations avec les investisseurs, à investorsinfo@chorusaviation.ca, ou en composant le 902 873-5094.
Conférence téléphonique et diffusion Web audio à l'intention des investisseurs
Chorus tiendra une conférence téléphonique à 9 h, HE, le jeudi 21 février 2013, afin d'analyser ses résultats du quatrième trimestre et de l'exercice 2012. On peut participer à la conférence en composant le 1 888 231-8191. La conférence sera diffusée simultanément sur le Web, en mode audio à l'adresse : http://www.newswire.ca/fr/webcast/detail/1097401/1195631 et elle sera également accessible dans la section des relations avec les investisseurs à www.chorusaviation.ca. Il s'agit d'une diffusion Web en mode audio seulement. Le lecteur Media Player ou Real Player est nécessaire pour écouter la diffusion audio; veuillez donc le télécharger bien avant la conférence.
La conférence téléphonique diffusée sur le Web sera archivée sur le site des relations avec les investisseurs de Chorus, à l'adresse www.chorusaviation.ca. On pourra également l'écouter en différé jusqu'à minuit, HE, le 28 février 2013, en composant le 416 849-0833, ou le 1 855 859-2056 (sans frais), et en entrant le code d'accès 88335638, suivi de la touche marquée d'un carré.
1 Mesures financières non conformes aux PCGR
BAIIA
Le BAIIA (bénéfice avant intérêts, impôts, amortissements et obsolescence) est une mesure financière non reconnue par les PCGR qui est couramment utilisée dans tous les secteurs pour donner un aperçu des résultats opérationnels avant les charges d'intérêts, le produit d'intérêts, l'amortissement, les profits et pertes sur les immobilisations et les autres produits et charges non opérationnels. La direction est d'avis que le BAIIA aide les investisseurs à comparer les résultats de Chorus sur une base constante sans égard à l'amortissement qui est un élément hors caisse et qui peut varier sensiblement selon les méthodes comptables et les facteurs non opérationnels tels que le coût historique. Le BAIIA ne devrait pas être utilisé comme mesure exclusive des flux de trésorerie, car il ne tient pas compte de l'incidence de la croissance du fonds de roulement, des dépenses en immobilisations, du remboursement de la dette et d'autres entrées et sorties de fonds, qui figurent dans l'état des flux de trésorerie faisant partie des états financiers.
FLUX DE TRÉSORERIE DISPONIBLES
Avant la conversion en société par actions, l'encaisse distribuable était un indicateur de rendement clé utilisé par la direction pour évaluer le rendement actuel du Fonds de revenu Jazz Air. L'encaisse distribuable n'est pas une mesure couramment utilisée lorsqu'il est question d'une société ouverte. La direction croit cependant que cette expression est bien connue de ses actionnaires et publie des données sur les flux de trésorerie disponibles afin de remplacer les renseignements auparavant communiqués au sujet de l'encaisse distribuable. Les flux de trésorerie disponibles sont calculés de la même façon que l'encaisse distribuable. Les flux de trésorerie disponibles sont définis comme étant le BAIIA, moins les charges non opérationnelles, les investissements de maintien pour soutenir l'exploitation, ajusté en fonction des profits ou des pertes de change latents sur la dette à long terme et les contrats de location-financement ainsi que tout élément non opérationnel ponctuel et inhabituel. Les autres dépenses en immobilisations engagées pour faciliter la croissance de l'entreprise sont exclues de ce calcul.
RÉSULTAT NET AJUSTÉ
Le résultat net ajusté et le résultat ajusté par action sont calculés en ajustant le résultat net en fonction du montant des profits et des pertes de change latents sur la dette à long terme et les contrats de location-financement. Pour le quatrième trimestre de 2012, Chorus a enregistré une perte de change latente de 3,3 M$ sur la dette à long terme et sur les contrats de location-financement. Sur une base annuelle, Chorus a enregistré un profit de change latent de 5,6 M$ sur la dette à long terme et sur les contrats de location-financement. Ces ajustements montrent plus clairement le résultat d'un point de vue opérationnel.
Mise en garde concernant les énoncés prospectifs
Le présent communiqué doit être lu parallèlement aux états financiers consolidés audités de Chorus pour les exercices terminés les 31 décembre 2012 et 2011, ainsi qu'au rapport de gestion daté du 20 février 2013; ces documents ont été déposés auprès des organismes canadiens de réglementation des valeurs mobilières (on peut les consulter à l'adresse www.sedar.com).
Le présent communiqué peut comporter certaines déclarations qui sont de nature prospective. Ces énoncés prospectifs se reconnaissent à l'emploi de termes ou d'expressions comme « prévoit », « croit », « pourrait », « estime », « s'attend à », « a l'intention de », « peut », « planifie », « prédit », « projette », « devrait », « suppose » et autres, ce qui comprend les allusions aux hypothèses. Ces énoncés peuvent, entre autres, porter sur des observations concernant des stratégies, des attentes, des activités planifiées ou des actions à venir.
Les énoncés prospectifs concernent des analyses et d'autres informations qui sont fondées sur des prévisions de résultats futurs, des estimations de montants ne pouvant être établis dans l'immédiat et d'autres événements incertains. Par nature, les énoncés prospectifs reposent sur des hypothèses, dont celles décrites ci-dessous, et ils sont sujets à des risques et incertitudes importants. Aucune prévision ou projection n'est donc entièrement fiable en raison, notamment, de l'évolution des circonstances externes et de l'incertitude générale qui caractérise le secteur. Ces énoncés mettent en jeu des risques connus et inconnus, des incertitudes et d'autres facteurs susceptibles de faire différer sensiblement les résultats, le rendement ou les réalisations réels de ceux qui sont exposés dans les énoncés prospectifs. Les résultats présentés dans les énoncés prospectifs peuvent différer sensiblement des résultats réels en raison de divers facteurs, ce qui comprend, mais sans s'y limiter, les risques liés aux relations de Jazz Aviation S.E.C. avec Air Canada, les risques liés au secteur du transport aérien, les prix de l'énergie, les conditions du secteur, du marché, du crédit et de l'économie en général, la concurrence, les questions et coûts d'assurances, les questions d'approvisionnement, les conflits armés, les attentats terroristes, les épidémies, les catastrophes naturelles, les fluctuations de la demande dues au caractère saisonnier des activités, la capacité de réduire les charges opérationnelles et les effectifs, la capacité d'obtenir du financement, les relations de travail, les négociations collectives ou les conflits de travail, les restructurations, les enjeux en matière de retraite, les taux de change et d'intérêt, les clauses restrictives en matière d'emprunt et de restructuration liées aux dettes futures, la dilution des actionnaires de Chorus, l'incertitude entourant les versements de dividendes, la gestion de la croissance, l'évolution de la législation, les faits nouveaux ou procédures réglementaires défavorables de même que les litiges ou les poursuites en cours ou futurs intentés par des tiers. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent document représentent les attentes de Chorus en date du 20 février 2013 et pourraient changer après cette date. Chorus décline toutefois toute intention ou obligation d'actualiser ou de réviser ces énoncés prospectifs à la lumière de nouveaux éléments d'information, d'événements futurs ou pour quelque autre motif que ce soit, sauf dans la mesure où les lois sur les valeurs mobilières applicables l'exigent.
Chorus Aviation Inc.
Chorus Aviation Inc. (« Chorus »), qui a été constituée en société le 27 septembre 2010, est une société de portefeuille versant des dividendes. Elle est propriétaire de Jazz Aviation S.E.C. et de Chorus Leasing III Inc.
Les titres de Chorus sont négociés à la Bourse de Toronto sous les symboles CHR.A, CHR.B et CHR.DB.
Pour en savoir plus, consultez www.chorusaviation.ca.
Jazz Aviation S.E.C.
Jazz Aviation S.E.C. est bien implantée dans l'industrie canadienne de l'aviation, ses origines remontant aux années 1930. Jazz est la propriété exclusive de Chorus Aviation Inc. et continue d'afficher des résultats financiers et opérationnels qui figurent parmi les meilleurs du secteur du transport aérien en Amérique du Nord.
Jazz Aviation S.E.C. exerce ses activités par l'intermédiaire de deux divisions de transport aérien : Air Canada Express et Jazz.
Air Canada Express : En vertu d'un contrat d'achat de capacité conclu avec Air Canada, Jazz dessert des marchés à faible trafic ainsi que des marchés à trafic élevé pendant les périodes hors pointe dans tout le Canada et certaines villes des États-Unis. Au quatrième trimestre de 2012, Jazz a exploité pour Air Canada un service régulier de transport de passagers qui prévoyait environ 779 départs chaque jour de la semaine à destination de 82 villes du Canada et des États-Unis à l'aide d'un parc aérien composé d'avions fabriqués au Canada par Bombardier.
Jazz : Sous la marque Jazz, la société aérienne assure des vols nolisés à l'échelle de l'Amérique du Nord au moyen d'un parc aérien composé de cinq appareils de Bombardier. Ces services s'adressent aux entreprises, aux organismes gouvernementaux, aux groupes d'intérêts particuliers et aux personnes qui recherchent plus de commodité. Jazz peut aussi offrir divers services aux exploitants de sociétés aériennes : services au sol, régulation des vols, planification de la charge marchande, formation et services-conseils.
Pour obtenir plus d'information, veuillez consulter le site www.voljazz.ca.
SOURCE : CHORUS AVIATION INC.